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La source du fleuve Congo, située dans le village de Kilela Balanda, dans le district du Haut Katanga, est en train de tarir, selon la ministre provinciale du Katanga de l’environnement et tourisme. Un phénomène qui étonne les riverains de la contrée en cette période des pluies abondantes, rapporte radiookapi.net

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Mme Thérèse Lukenge Kapibwe, ministre provinciale de l’environnement et tourisme affirme avoir reçu du commissaire de district un rapport sur ce phénomène. Elle indique avoir dépêché une équipe d’experts sur place pour s’enquérir de la situation. « C’est une nouvelle singulière, parce que nous sommes en pleine saison des pluies. Une source pleine d’eau pendant la sison sèche tarit en pleine saison des pluies, c’est quand même bizarre », a-t-elle commenté. Toutefois, la ministre Lukenge refuse toute dramatisation du problème. « Bien sûr que le fleuve Congo tire sa source dans le village de Kilela Balanda, mais il est alimenté par plusieurs ruisseaux et rivières situés les uns des autres sur des kilomètres… Donc, on ne peut pas dire que lorsqu’une source n’approvisionne plus le fleuve Congo, il va s’arrêter. Non. »

Source:http://radiookapi.net/sans-categorie/2009/02/01/katanga-le-fleuve-congo-tarit-a-sa-source/#more-18226

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peche

La vie des pêcheurs et agriculteurs sur le tronçon fluvial Mbandaka-Kinshasa est intenable. L’accès à l’information, à l’éducation des enfants, à l’eau potable et à la santé constitue un casse-tête pour les parents. Pire encore, les échanges commerciaux avec certaines localités frontalières du Congo-Brazzaville n’existent plus, selon un voyageur, rapporte radiookapi.net

« De Wendji Secli, localité située à 20 kilomètres en aval de Mbandaka à Maluku, à la porte de Kinshasa sur le fleuve, Radio Okapi est la seule radio nationale qui informe en ondes courtes les populations riveraines », témoigne Daniel Tambinzoni qui vient de parcourir le fleuve Congo. Les rares institutions d’enseignement primaire et secondaire sur ce parcours sont distantes de 700 kilomètres. Elles ne disposent pas d’enseignants qualifiés. C’est ce qui fait que de Bolobo à Kwamouth, les élèves ont fini par se désintéresser des études. Ils préfèrent, à la place, aller à la pêche et aux champs. Le manque d’eau potable et la consommation régulière de l’eau du fleuve entraînent plusieurs maladies d’origine hydrique, selon les témoignages des infirmiers et médecins rencontrés à Tshumbiri et Kwamouth.
Les moyens de lutte et de prévention contre le vih/sida sont quasi inexistants dans ces campements et villages. Seulement deux personnes sur dix, jeunes comme adultes, sont informées du sida et des moyens de prévention. A Ngombe et à Lukolela, les échanges commerciaux avec Lilanga et Mpuya, deux villages du Congo Brazzaville, ne sont plus réguliers à cause des tracasseries militaires et douanières signalées de part et d’autre du fleuve Congo, conclut le voyageur.
Source: http://radiookapi.net/sans-categorie/2007/02/23/equateur-fleuve-congo-difficiles-conditions-de-vie-des-riverains/#more-6799

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La gestion du bassin du fleuve Congo est, depuis lundi à Kinshasa, au centre de la session extraordinaire des ministres des pays membres de la Commission internationale du Bassin du Congo – Ubangi, Cicos. Selon les experts, on constate une chaleur intense et une diminution des eaux sur la rivière Ubangi, avec pour conséquence, la chute de la production du poisson, rapporte radiookapi.net Des délégués du Cameroun, de la République centrafricaine, du Congo-Brazzaville et leurs hôtes de la RDC prennent part à ces travaux. Le ministre congolais de l’environnement et président de la Cicos dit attendre beaucoup de la communauté internationale pour des solutions durables. Pour José Endundo, la gestion durable des ressources en eau du bassin du Congo est devenue une question hautement préoccupante : « eu regard de l’importance que ces ressources représentent pour le bien-être des populations présentes et futures. Notre institution, la Cicos, démontre en moins de 5 ans qu’elle est à même de pouvoir réaliser avec le soutien de nos partenaires au développement, les nobles missions que nous lui avions confiées, à savoir, la promotion de la navigation intérieur et la gestion intégrée et durable des ressources en eau pour le bien-être de toutes nos populations. » José Endnudo a profité de l’occasion pour appeler une fois de plus le soutien de la communauté internationale : « J’invite une nouvelle fois la communauté internationale à se pencher sur l’urgence et la nécessité de soutenir notre institution dans ses efforts de gestion durable de ressources de notre nation pour le bien être de nos populations, d’autant plus que nos pays se retrouvent aujourd’hui dans une situation critique, au regard de la crise financière mondiale qui frappe de plain fouet le monde, et qui engendre la récession économique. » Source http://radiookapi.net/sans-categorie/2009/05/05/fleuve-congo-diminution-de-l%e2%80%99eau-et-chute-de-production-du-poisson-sur-l%e2%80%99ubangi/

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Avec l’imminence de l’arrivée des casques bleus des Nations Unies en septembre prochain en République Centrafricaine (RCA) et l’intensification des échanges attendue vers ce pays, le seul corridor entre Douala (Cameroun) et Bangui (RCA) ne suffira plus.

Dans cette vision, une délégation de Bangui conduite par le ministre du Transport et de l’aviation civile, Arnaud Djoubaye- Bazène, séjourne depuis mercredi à Brazzaville, où elle demande aux autorités congolaises une offre de transport plus développée sur l’axe fluviale Congo-Oubangui.

Cet axe, anciennement appelé Trans-équatoriale, part du port maritime de Pointe-Noire pour rallier Brazzaville, via le Chemin de fer Congo-Océan (CFCO), puis s’achemine vers Kinshasa et l’ hinterland de la République démocratique du Congo (RDC) pour atteindre enfin la République Centrafricaine par les fleuves Congo et Oubangui.

« Nous investissons beaucoup sur les infrastructures de base dans le but d’accroître l’offre de transport. Nous ne pouvons que nous réjouir de cette opportunité », a réagi le ministre congolais des Voies navigables et de l’Economie fluviale, Gilbert Mokoki.

Le Congo, qui veut s’appuyer sur le transport et sa position stratégique de transit pour diversifier l’économie, consacre depuis quelques années de lourds investissements dans ce domaine, en l’ouvrant à des partenariats avec des privés internationaux.

Le port de Pointe-Noire, le seul en eau profonde de la sous- région d’Afrique centrale et capable d’accueillir des bateaux de grand tonnage, est désormais concédé à la société française Bolloré, qui modernise notamment son terminal à conteneurs.

Quant au port fluvial de Brazzaville, son projet de modernisation est lui aussi en cours d’exécution, impliquant la société française Necotrans. Celle-ci s’est engagée à développer les activités de manutention et d’aconage, pour un investissement d’environ 24 milliards Francs CFA (environ 48 millions USD). F
Article
http://french.china.org.cn/foreign/txt/2014-05/30/content_32529812.htm

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Entre Brazzaville et Kinshasa, course d’obstacles sur le fleuve Congo
Par Trésor Kibangula, envoyé spécial
La traversée Brazza-Kin ou Kin-Brazza demeure un parcours du ­combattant. © Glez En attendant le pont qui reliera un jour Brazzaville et Kinshasa, maintes formalités et « pourboires » sont nécessaires au voyageur qui veut gagner l’autre rive.
Difficile de s’y retrouver lorsqu’on débarque pour la première fois au « beach », le port fluvial de Brazzaville, pour se rendre à Kinshasa, de l’autre côté du majestueux fleuve Congo. Par où commencer les formalités ? Impossible de le savoir sans l’assistance d’un « démarcheur ». Nelson, 32 ans, fait partie de ces « agents » informels qui aident les passagers, moyennant quelques billets, à accomplir les démarches nécessaires à l’embarquement. « Sans eux, on passerait toute la journée à attendre », reconnaît Sophie Bouyou, une Brazzavilloise qui fait souvent la navette entre les deux capitales du monde les plus proches géographiquement… et pourtant si lointaines administrativement. Maints tampons et autant de billets sont en effet nécessaires pour avoir le droit de monter à bord d’une embarcation pour gagner l’autre rive – dans un sens comme dans l’autre.
Après deux heures de formalités, on peut prendre place
Cela commence dès l’entrée du beach. Un agent en civil, assis derrière une table banalisée, vérifie si tous les passagers en partance pour Kinshasa disposent bien d’un laissez-passer ou, pour les ressortissants de la RD Congo, d’une pièce d’identité. Et malheur à celui dont le passeport porte la mention « employé » ! Il devra ajouter à son dossier l’autorisation de sortie de son employeur. Mais « on finit toujours par s’arranger », glisse l’agent. Décodage : un « petit pourboire » suffit généralement à faire oublier l’absence du document exigé.
À l’intérieur du port, c’est un labyrinthe de procédures.
À l’intérieur du port, c’est un labyrinthe de procédures. Sur des bancs alignés devant le bureau du Service spécial frontalier du beach de Brazzaville, des commis de la Direction des chantiers et des transports fluviaux et leurs collègues de la Direction de la navigation fluviale procèdent à l’enregistrement des voyageurs. Outre le ticket de transport (qui coûte 11 000 F CFA, soit 16,77 euros), il faut acquitter divers frais, notamment la vignette sur passagers (400 F CFA), la redevance portuaire (1 200 F CFA) et la taxe sur le colis. Même la Brigade de surveillance et de contrôle portuaire monnaie à 1 000 F CFA sa fouille du voyageur…
Après environ deux heures de formalités, on peut enfin prendre place à bord du Transpool, le canot rapide motorisé qui doit nous emmener à Kinshasa. Des gilets de sauvetage d’un autre âge sont distribués, on ne s’en plaindra pas. Car derrière notre embarcation, c’est pire : passagers, marchandises et animaux (chèvres, poules…) s’installent vaille que vaille dans un autre bateau aux équipements bien plus rudimentaires qui attend encore le feu vert pour se lancer.
Quatre kilomètres et sept minutes de navigation plus tard, nous voilà au beach de Kinshasa. À l’arrivée, des agents de la Direction générale de l’immigration récupèrent cartes d’identité et passeports pour vérification. À deux pas de là, un commis perçoit la redevance portuaire (1 500 francs congolais, soit 1,17 euro). « Bientôt, toutes ces longues procédures seront allégées », rassure Pius Ngoie, conseiller chargé de la planification au ministère des Infrastructures de la RD Congo : « Lorsque le pont sera jeté sur le fleuve, il n’y aura plus qu’un point de passage. » Autrement dit, les passagers ne seront contrôlés que dans la ville de départ.
Les Brazzavillois redoutent une invasion des Kinois
Où est en le projet de pont route-rail entre Brazzaville et Kinshasa ? Le financement de l’ouvrage, dont le coût est estimé à plus de 700 millions d’euros, reste à boucler, pour un lancement de l’appel d’offres prévu d’ici à la fin de 2014. Dans les deux capitales, on y croit. Les appréhensions de départ – la province du Bas-Congo craignait que l’activité du port de Matadi ne soit affectée par la concurrence du pont, tandis que les Brazzavillois redoutaient une invasion des Kinois – se sont estompées, rassure-t-on dans les ministères chargés du dossier, où l’on est convaincu qu’avec la croissance économique et la production en constante augmentation il faut créer davantage de voies d’évacuation des marchandises. En attendant, la traversée Brazza-Kin ou Kin-Brazza demeure un parcours du ­combattant.

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Par Trésor Kibangula

http://www.jeuneafrique.com/Article/JA2779p031.xml0/transport-brazzaville-kinshasa-pont-reportage-entre-brazzaville-et-kinshasa-course-d-obstacles-sur-le-fleuve-congo.htm

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BRAZZAVILLE (Xinhua) – Un canot rapide reliant Brazzaville et Kinshasa a pris feu lundi après-midi au large du fleuve du Congo avec 15 passengers à bord dont trois ont été brûlés.
Mardi 1 avril 2014 | 05:32 UTC

Port de Kinshasa à Limete : darse du Club nautique de Kinshasa et silot

Ce canot appartenant à une société de la République démocratique du Congo, est parti vers 14h00, du Beach Ngobila à Kinshasa pour Brazzaville.

Selon un personnel du beach à Brazzaville, ces trois hommes blessés, tous Congolais, ont été conduits à l’hôpital grâce à une équipe de secours brazzavilloise.   Une douanière évoluant au beach de Brazzaville a confirmé à Xinhua que cet accident a eu lieu lorsque l’un des membres d’équipage du canot mettait du carburant dans le réservoir en pleine navigation

Handball-RDC: 3 Léopards filles noyées dans le fleuve Congo

L’équipe nationale de handball junior est en deuil. Elle perdu, depuis samedi 22 mars, trois de ses talentueuses joueuses, noyées dans le fleuve Congo, au cours d’une traversée vers Brazzaville (Congo). Il s’agit de Malasi, Kitoko et Seka, toutes sociétaires du handball club Héritage. Seule une parmi elles seulement a eu la vie sauve au cours de cet incident fluvial.
Cette information est confirmée par le président de la Ligue de handball de Kinshasa, Herman Ngediko.

Ce dernier a confié à Radio Okapi que ces joueuses partaient à Brazzaville pour leurs commerce avant que leur pirogue puisse être secoué par un vent violent pendant la traversée.

Des sources concordantes renseignent que ces joueuses de handball avaient raté le dernier bateau pour Brazzaville et c’est alors qu’elles s’étaient décidées de voyager par pirogue.

Les Léopards juniors avaient occupé la deuxième place au Challenge Trophy, au Mexique, en 2013.

En moyenne, 35 cas de naufrage sont enregistrés chaque année sur les voies maritimes congolaises, de 2008 à 2011. En trois ans, 153 naufrages ont été enregistrés. Coûtant la vie à plus de 4.177 Congolais, sur le fleuve Congo et dans les Lacs près de 100 personnes meurent donc chaque mois suite aux naufrages. Dans la plupart des cas, ces accidents surviennent suite au non respect des normes de navigabilité.

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